La qualité de l'air dans les transports en commun

Dans le cadre de notre TPE (Travaux Personnels Encadrés) nous avons décidé d’étudier la qualité de l’air dans les transports en commun. Afin de répondre à la problématique: “Quels sont les modes et les habitudes de déplacements urbains qui exposent le plus aux PM 2.5 ?”, nous avons réalisé de nombreuses expériences.

 

La réalisation des expériences s’est faite sur deux jours. Durant le premier jour nous avons réalisé une expérience qui consiste à comparer les taux de particules fines 2.5 dont nous sommes exposés  pendant un trajet en vélo et en tramway. A l’aide des capteurs nous avons obtenu ce graphique:


Comme on peut le voir sur ce graphique les expériences ont lieu en même temps. De plus les pics soudain sur la courbe vélo s’explique par les variations de vitesse, dans le but de rester au même niveau du tram.

 

Le deuxième jour, nous avons réalisés les expériences qui consistaient à comparer le taux d’exposition aux particules fines PM2,5 dans le bus et dans le métro.

Nous avons obtenu ce graphique:




Cependant comme les deux trajets n’ont pas duré le même temps, nous avons décidé de calculer la quantité de particules fines que nous respirons.

Pour le bus, la quantité de particules fines inhalée était de 0,9 μg

Pour le métro, la quantité de particules fines inhalée était de 3,5 μg

 

Après avoir comparé les différents graphiques, on peut donc en conclure que le mode de déplacement urbain qui nous expose le plus aux PM2,5 est le métro et celui qui nous expose les moins n’est d’autre que le bus car l’air y est souvent renouvelé.contrairement au métro qui est un endroit clos. (Attention: ce résultat s’applique dans le cadre des expériences que nous avons réalisés. De plus, si les expériences avaient été réalisées un autre jour dans d’autres conditions climatiques ou autres, les résultats auraient pu être différents).

différents).